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 | Sujet: Arrivée du désespoir  Dim 17 Jan - 14:47 | |
| Promenons nous dans les bois, tant que le Comte n'y est pas. Si le Comte y était, il nous frapperait.
Cmyrille avait fuit le monastère fortifié de Bergerac grâce à une connerie de pierre tombée d'une échauguette juste sur sa mouille. Il l'avait gardée dans son giron jusqu'au moment opportun. A savoir celui où son geolier viendrait lui apporter son repas, enfin son bout de pain racis et son verre d'eau, et là: PAF!!
_Bonjour Maîîîîîtreeeee. J'ai trouvé ça dans ma cellule. Je ne sais pas d'où ça vient.
_Tu as bien fait de me prévenir mon fils. Sans doute le malin qui te met à l'épreuve. Et tu as réussit ton épreuve. Pour ta peine tu auras droit à une ballade dans la cours aujourd'hui.
_Merci Maîîîîîîître....
Bref, deux heures plus tard le voilà en train d'escalader la herse pour se faire la malle. Et le pire c'est que ça a marché. Et le voilà donc à trainer dans les bois, complètement paumé, affamé et surtout déshydraté.
Et là, entre deux arbres sombres aux branches pendantes, comme de vilaines mains voulant le saisir de leurs doigts crochus, une pancarte.
- Citation :
- Domaine de la Rabatelière, heytheu maïlz. Attention, traversée de kangou roux dans les bois.
Bon ben c'est parti...
Le trajet fut assez court. Allez savoir ce que c'est qu'un maïlz, mais en tout cas ça vaut pas un bon vieux kilomètre... Toujours est-il qu'il arriva devant un beau et joli chateau (et pas un beaujolais village...raté). Les lieux lui semblaient familiers, mais en même temps, après s'être fait attaquer par une demi-douzaine d'écureuils énormes, il n'avait plus la notion de grand chose. Le chatal lui semblant familier donc, il se permit de passer la porte, ouverte d'ailleurs, faudra voir avec le gars de la sécurité hein, pour entendre des cris affreux. Comme quand ils égorgeaient le cochon au monastère, où des fois la truie qu'ils louaient. Enfin truie, c'est comme ça qu'ils disent. |
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